17/01/2017 : Nouvelles positives du mois de janvier / Institut des Solutions alternatives
Le Gniac et l'ISA (Institut des Solutions et des Alternatives) s'associent pour vous fournir tous les mois une newsletter à impact positif. Vous recevez dans un mail des initiatives françaises, des bonnes idées venues d'ailleurs et le portrait de deux Gniacqueurs.
Bonne lecture à tous ! Bien Gniacquement,
Thierry du Bouetiez, Président GNIAC
Baptiste Gapenne, Fondateur de l'ISA
Le Gniacqueur du mois
Maxime de Rostolan et ses initiatives Fermes d'Avenir et Bluebees
Ingénieur et « Payculteur ». Coordinateur du projet Fermes d’avenir, il souhaite faire de l'agro-écologie le principe de base pour l'agriculture de demain. Il est également le créateur de Blue Bees, un site de financement participatif pour les projets éco-responsables. Maxime de Rostolan présentera ses projets lors de la prochaine plénière du GNIAC le 02 février.
En savoir plus sur Bluebees en cliquant ici
Découvrir le plaidoyer Fermes d'avenir
POUR UN AGRICULTURE INNOVANTE A IMPACTS POSITIFS en cliquant ici
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Pour ceux qui auraient raté l'intervention du GNIAC sur France inter
Vous pouvez la retrouver en cliquant ici
Des initiatives françaises
Courir en ramassant des déchets, le réflexe qui fait de plus en plus d'adeptes
Né à Nantes, le groupe Facebook Run Eco Team a pour objectif d'organiser des sorties running de plusieurs kilomètres où les participants ramassent les déchets qu'ils peuvent croiser. Une cinquantaine de villes en France, en Belgique et aux Etats-Unis ont participé au premier événement initié par Nicolas Lemmonier, jeune ostéopathe français le dimanche 15 janvier. Une mobilisation rendue possible par le coup de pouce donné par Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook, lequel a annoncé fin décembre sur les réseaux sociaux son soutien à Run Eco team.
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Innovation: quand des entreprises rivales jouent la "coopétition"
Des concurrents qui unissent leurs forces pour échanger des idées et créer de la valeur sur le marché : une stratégie vouée au désastre ? Pas forcément, comme on le constate avec l’exemple du secteur des télécommunications et Celtic-Plus. La “coopétition” offre à des entreprises concurrentes la possibilité de collaborer et co-créer à long-terme.
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Les supermarchés coopératifs, une alternative à la grande distribution
Il existe depuis quarante ans à New York, mais le concept est en train d’essaimer en France. Dans plusieurs villes, des citoyens tentent d’ouvrir des supermarchés radicalement différents. Refusant les intermédiaires, ils privilégient le circuit court pour financer au juste prix les petits producteurs. Le principe ? Chacun peut en profiter… à condition d’y travailler quelques heures par mois.
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À Vaulx-en-Velin, des retraités veulent vieillir ensemble
Depuis sept ans, les retraités de l’association Chamarel développent à Vaulx-en-Velin un projet d’immeuble coopératif et écologique. Une façon pour eux de vieillir ensemble, loin des maisons de retraite et de la solitude.
Depuis sept ans, les retraités de l’association Chamarel développent à Vaulx-en-Velin un projet d’immeuble coopératif et écologique. Une façon pour eux de vieillir ensemble, loin des maisons de retraite et de la solitude.
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Des collégiens créent une AMAP pour vendre des légumes en circuits courts
Des élèves d’une classe de troisième d’un collège des Deux-Sèvres viennent de lancer une Amap au sein même de leur établissement. C’est une des toutes premières initiatives du genre en France. Les Amap, ces « associations pour le maintien de l’agriculture paysanne » sont en plein développement en France. Assurant un partenariat de proximité entre producteurs et consommateurs via une vente directe et régulière en un point précis.
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Des idées venues d'ailleurs
A Amsterdam, la municipalité partage locaux et véhicules avec les habitants
Dans toutes les grandes villes, la municipalité possède bon nombre d’espaces, de véhicules et d’outils qui ne servent qu’une partie du temps. La ville d’Amsterdam s’appuie sur des applications pour mettre à disposition du public ses ressources lorsqu’elles sont inutilisées. Elles seront réservées en priorité aux projets à impact social positif.
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Un hôpital cultive son propre potager 100% bio
En termes de restauration, les hôpitaux ont plutôt mauvaise réputation. C’est d’autant plus regrettable que nul ne peut être en bonne santé sans une alimentation saine et équilibrée. Fort de ce constat, un établissement américain a donc pris la décision qui s’imposait : utiliser son propre potager 100% bio ! Gros plan sur une initiative exemplaire.
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